• Comme promis, je n'interviens plus beaucoup mais je continue à vous lire et continuerai à vous répondre. Cependant je voulais vous donner les premiers résultats du sondage que je vous demande de compléter, celui intitulé : "Parlez-moi un peu de vous, pour m'aider à connaître mon lectorat...". Certes, ce n'est pas très scientifique mais des tendances se dessinent.

    D'abord et ce n'est pas une surprise, 80% de ceux qui ont aimablement répondu vivent ou pensent vivre une crise de la quarantaine ou celle de leur conjoint(e). J'ose espérer que pour plusieurs d'entre eux, ce blog leur aura apporté des réponses et permis d'avancer quelle que soit la direction qu'ils ont choisie.

    Autre fait très intéressant, parmi les 20% restant, seuls 10% ont coché "je suis parti et je ne regrette pas". Autrement dit, 90% sont restés, sont revenus ou regrettent leur décision de partir. Là encore il n'est pas question d'ostraciser ceux qui partent et qui sont heureux ainsi, mais ça renforce, et de beaucoup, ma conviction qu'il est absolument nécessaire de bien réfléchir avant d'envoyer promener tout ce qu'on a construit. Trouver la cause à son insatisfaction, à son impression de ne pas profiter de la vie, sans toujours rejeter la faute sur son conjoint ou sa conjointe et parfois ses enfants, et si c'est possible y remédier. Le gazon n'est pas plus vert ailleurs et s'il l'est, il ne le restera pas longtemps. Autrement dit à force de chercher un pâturage chaque fois plus vert, plus appétissant, on passe sa vie à changer de pré et "on passe à côté de sa vie."

    Merci d'être toujours plus nombreux à me lire.

    PS : plusieurs lecteurs m'ont demandé de publier un livre, reprenant dans les grandes lignes ce qui est écrit dans ce blog. J'aimerais votre avis s'il vous plaît et si vous le pouvez en expliquant pourquoi vous jugez que ce serait ou non une bonne idée. Un gros merci!


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  • Un petit billet d'humeur (et oui ça m'arrive)!!

    Depuis quelques temps, des individus sous de faux noms viennent commenter mes articles en vantant les qualités de tel ou tel marabout. Je supprime ces commentaires dès que je les aperçois.

    Mon mari a cru aussi me faire revenir par ces moyens. Il a dépensé une somme indécente et ça ne m'a pas fait revenir. J'entends déjà les "adorateurs" de ces fameux marabouts répondre :"La preuve que ça a fonctionné, vous êtes revenue...". Oui mais combien d'années plus tard ? Et surtout après un gros travail sur moi-même. La magie, la sorcellerie et tout ce qui y ressemble n'a rien à voir avec ça.

    Si ça vous rassure et vous permet de cheminer de donner votre argent à ces personnes, donnez-le à des psychologues, à des gens qui vous écoutent à la limite. Mais à ces charlatans...

    Je crois à beaucoup de choses, y compris les âmes, les anges, etc. mais en aucune manière je ne crois en ces gens qui réclament de l'argent en échange de soi-disant pouvoir.

    À bon entendeur!!


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  • Re-bonjour,

    J'ai découvert un nouveau gadget qui devrait me permettre de mieux vous connaître, vous mes lecteurs. J'ai publié un sondage ( anonyme bien sûr!) qui est dans la colonne de droite de l'écran sous les liens. Merci de prendre quelques secondes pour le compléter ;-)

    Excellente journée!!


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  • Bonjour,

    Et oui tout le monde le sait mais cette réalité vient de me frapper en pleine face. Ma fille vient de s'enfuir du domicile conjugal avec un bel hidalgo espagnol. Enfin beau, question de goût mais il lui offre certainement ce qu'elle ne trouvait plus auprès de sa famille.

    Je sais que c'est dans l'air du temps et que ça arrive de plus en plus fréquemment mais je voulais croire que mon histoire, notre histoire puisqu'elle a été impactée par mes actes, lui aurait servi de leçon. Elle refuse de relire mon blog. "Je le connais, tu me l'as déjà fait lire il y a deux ans quand tu l'alimentais régulièrement!", "Mais là c'est différent, Luis, je l'aime vraiment et avec Julien ça n'allait vraiment plus." Pourtant ça ressemble étrangement à tout ce que je vous ai raconté. Les personnages, l'époque est peut-être différente mais le fond reste le même. La vie qui s'enfuit, la routine qui s'installe, une petite déprime (petite ?), la volonté de revivre sa jeunesse, etc. Bien sûr que chaque histoire est différente et encore une fois, il y a parfois d'excellentes raisons de se séparer, mais parfois non!

    En ce moment, je sers de confidente à mon gendre, ex-gendre, qui ne comprend pas. Je ne sais quel comportement adopter. J'espère qu'elle va changer d'avis mais le fera-t-elle ? J'aimerais qu'il aille consulter mais pour l'instant il est plutôt fermé à l'idée! Pourtant si ma fille devait changer d'avis, il faudrait qu'il soit prêt à ce qu'elle revienne. Etre malheureux n'est pas la preuve qu'il est prêt. Pourra-t-il lui pardonner ? Saura-t-il faire les ajustements nécessaires ?

    L'avenir le dira.

    À bientôt


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  • Bonjour à tous et à toutes,

    J'espère que vous allez bien, même si je suis bien consciente que si vous lisez mon blog c'est peut-être qu'il y a des questions, voire des remises en questions.

    Je vous rassure, même si j'écris ce billet, moi ça va bien. Presque deux ans maintenant que nous nous sommes retrouvés et c'est génial. Alors pourquoi revenir me direz-vous ? En fait c'est aussi un cri du cœur. Vous êtes toujours plus nombreux à lire ce blog mais pas un seul commentaire depuis l'an passé. J'aurais pourtant aimé savoir ce que vous en pensiez, vos réactions par rapport à mes réflexions, à mon expérience... Et puis pour que mon blog puisse aider quelques personnes (je n'ai pas la prétention de pouvoir aider tout le monde malheureusement ;-) ), il faudrait améliorer son référencement et pour ça un seul moyen, des commentaires et des "likes". Alors n'hésitez pas et rappelez-vous, même si je n'écris plus, je continue de lire et continuerai de répondre à vos questions s'il y en a.

    Je vous souhaite tout le bonheur du monde.


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  • Ça fait un moment n'est-ce pas ? Un moment que je n'ai pas saisi mon clavier pour vous parler de ma vie...

    Cela fait 6 mois maintenant depuis mon article un espoir... Et la vie est géniale! J'ai retrouvé l'amour de ma vie et nous en profitons pour rattraper le temps perdu. Certains dirons Quel dommage! Mais je préfère penser mieux vaut tard que jamais tout en espérant malgré tout que vous ne commettrez pas les mêmes erreurs que moi ou que vous les réparerez plus vite.

    Après les premières semaines, où nous nous sommes redécouverts, des semaines magiques, des rendez-vous secrets (ou presque ;-)), nous avons de nouveau emménagé ensemble. Je ne vous mentirais pas, cela n'a pas été tout seul. Nous nous aimons mais, malgré tout, ce que nous avions fait, ce que j'avais fait, avait laissé des traces. Mais nous en sommes sortis et aujourd'hui c'est comme si nous ne nous étions jamais quittés. Nous pouvons enfin réaliser certains rêves que nous avions en commun et que nous n'avions pu réaliser, des choses toutes simples comme Noël en famille avec nos enfants (vivement les petits-enfants!!), des voyages. Nous n'avons jamais autant communiqué. La barrière que j'avais dressée lors de notre mariage a disparu. Nous sommes toujours complices, peut-être même plus que jamais.

    Nous prévoyons renouveler nos vœux, nous promettre à nouveau d'être là l'un pour l'autre jusqu'au bout, cette promesse que j'avais oubliée, qui me semblait être faite pour être brisée, je veux la lui faire à nouveau. Je ne serai pas la première et j'ai une pensée pour vous toutes qui êtes sur le point ou avez déjà commis "l'irréparable". Mon histoire que j'arrête aujourd'hui (mais je continuerai à vous répondre ne vous inquiétez pas!), est la preuve que la crise de la quarantaine peut apporter son lot de malheur, mais que tant qu'on est vivant, on a le pouvoir de tout refaire, de tout réparer même les blessures les plus profondes que l'on a infligé et que l'on s'est infligées. Il faut juste en avoir le courage, se regarder dans le miroir et accepter qu'on est humaine. On a le droit à l'erreur, on a le droit de croire que le meilleur est ailleurs, mais au bout du chemin quand on a passé un bon tiers de sa vie avec quelqu'un, il faut être fou pour penser qu'on s'est trompé. Et oui, la crise de la quarantaine c'est un petit peu le quart d'heure de folie, juste prendre garde à ce qu'il ne dure pas trop longtemps.

    Je vous fais pleins de gros bisous et je vous souhaite bonne chance pour passer par dessus cette crise.


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  • Non, je ne parle pas ici de la série-roman à l’eau de rose des années 80-90 mais plutôt de cette analogie utilisée depuis la nuit des temps pour parler de cette sensation qui nous envahit. « Je brûle d’amour pour toi », « mon amour pour lui me consume », etc. autant d’expression qui confirment le lien étroit que nous faisons entre ce sentiment l’amour et cette énergie dévorante qu’est le feu.

    Je voudrais maintenant aller plus loin encore. Comment allumer un feu ? Une étincelle suffit, un regard, un parfum, une discussion. L’étincelle c’est l’attirance. Elle met le feu sur des brindilles, allume la flamme du désir. Mais un feu de brindille ne dure jamais très longtemps et très rapidement il ne reste que des cendres. C’est le lot de bien des amours adolescentes et la raison pour laquelle ces amours sont éphémères sans pour autant que certaines ruptures soient difficiles. À cet âge, tout prend des proportions gigantesques.

    Mais un jour, le feu prend vraiment, on apprend à connaître l’autre davantage, à faire des projets, à mettre quelques branches dans le feu de brindilles afin que le feu prenne vraiment. Et puis certains couples y mettent enfin des bûches, que ce soit des enfants (une bûche par enfant, voire plus), des déménagements, des projets de vie, les difficultés de la vie (oui, oui, les difficultés sont aussi des bûches), etc.

    Avez-vous déjà regardé un feu lorsqu’on y dépose des bûches ? Les flammes ont tendance à diminuer un peu d’intensité, mais la chaleur augmente et surtout le feu dure plus longtemps. Peu à peu au lieu de devenir des cendres contrairement aux brindilles, les bûches se consument lentement,  et deviennent des braises.

    Vous allez me dire, quelle est le lien avec ce blog ? Et bien lorsque je suis partie, c’est parce que le feu ne me réchauffait plus suffisamment, je croyais ne plus l’aimer, les flammes n’étaient plus visibles. Nous y avions peut-être mis trop de bûches, trop rapidement (des enfants assez rapprochés, des déménagements, des difficultés au travail) et ça a étouffé les flammes. Alors j’ai eu besoin de me réchauffer ailleurs d’où  mes aventures subséquentes. Et dès ma première aventure, un nouveau feu a pris, grand, éblouissant, je dirais même aveuglant… comme tous les feux de brindilles. J’ai délaissé le feu que j’avais entretenu pendant près de 20 ans pour un grand feu magnifique mais sans bûche. Et ce nouveau feu m’a empêché de voir les braises qui ne demandaient qu’à reprendre.

    Ce n’est qu’aujourd’hui que je comprends que le feu qui illuminent le plus ne sont pas ceux qui réchauffent le plus, que mes quelques aventures ne m’ont réchauffée que quelques mois tout au plus. Et pendant ce temps le premier feu important que j’avais allumé avec mon ex-mari, attendait simplement que nous soufflions sur les braises pour prendre à nouveau. Nous avons attendu très longtemps, trop longtemps mais au moins il a repris et puisque c’est un feu de bûches et non de brindilles, je sais qu’il va durer longtemps. À nous d’y jeter de nouvelles bûches… et des brindilles de temps en temps lorsque nous serons d’humeur coquine ;-)

    Mesdames, s’il vous plaît, pour celle dont c’est le cas, ne laissez pas un feu de brindilles, un feu de paille, aussi beau soit-il, vous faire oublier qu’il y a toujours un feu qui brûle dans l’âtre, surtout si vous et votre mari avez pris soin d’y mettre de nombreuses bûches.


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  • Aujourd'hui point de longue litanie, juste un lien vers un blog, d'une psychologue spécialisée en problème de couple et thérapie familiale, qui résume bien ce que je pense aujourd'hui.

    Dommage qu'il n'ait pas existé il y a 20 ans !

    Pour reprendre un petit morceau :

    "- temps du bilan de sa vie, doutes et désorientation;

    - mauvaise humeur, irritabilité et crises de colère;

    - expression permanente du besoin de changement, de plus de liberté et même parfois un besoin de plaire;

    - sentiment d’être inutile et de n’avoir rien fait de sa vie… "

    Effectivement, mis à part le 2e point c'est bien ce que j'ai vécu...

    Pour l'article au complet :

    http://www.anoustous.com/attention-au-demon-de-midi-ou-crise-de-la-quarantaine.php

      

    J'aime aussi beaucoup ceux-ci (malgré son titre, il s'adresse aussi aux femmes qui sont tentées par d'autres hommes) :

    http://www.anoustous.com/pourquoi-je-suis-tente-par-dautres-femmes-alors-que-jaime-la-mienne.php

     http://www.anoustous.com/quelle-est-la-definition-du-bonheur-en-couple.php

      

    Et pour celles dont c'est le cas, si vous avez trompé votre conjoint :

    http://www.anoustous.com/comment-reconstruire-et-redemarrer-son-couple-apres-une-infidelite.php

     

    Bonne lecture!





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  • Ça y est. Je passe enfin au XXIe siècle et je crée ma page Facebook. En effet, après un peu plus d’un an, et près de 3000 visiteurs je pense qu’il est temps de partager avec plus de monde. Je ne vous remercierai jamais assez. Lorsque j’ai décidé de créer mon blog je ne savais pas du tout quel accueil celui-ci allait recevoir. Je n’étais pas particulièrement stressée mais, même si c’était avant tout pour moi que j’écrivais, j’attendais avec impatience les premiers commentaires.

     

    J’en ai reçu des tas, soit directement dans les articles, soit encore plus nombreux via ma messagerie. Et je dois vous avouer que c’est le plus beau remerciement que vous pouviez me faire. Tous ces messages de femmes qui suite à la lecture de mes articles ont réagi et ont révisé leur position, trouvé de l’aide et finalement retrouvé le bonheur au sein de leur famille, pour moi c’est magique. Je n’aurais pas la prétention de penser que seuls mes écrits en sont responsables, mais s’ils ont seulement contribué à créer un doute et provoqué une réflexion supplémentaire alors tant mieux.

     

    C’est ce qui me motive à chercher un plus grand auditoire alors même si ça risque de commencer tout doucement, n’hésitez pas à cliquer sur le bouton « J’aime » en bas du menu à gauche de l’écran afin de partager. Après tout, les expériences, bonnes ou mauvaises, ne valent que si elles sont partagées. Je sais bien qu’on n’apprend jamais mieux qu’en commettant ses propres erreurs, mais pour plusieurs d’entre vous, le bonheur d’enfants, qui n’ont rien demandé était en jeu. Alors, tant mieux si mon expérience vous a permis de regarder votre situation d’un autre œil, un œil sans doute rempli d’espoir, puisque vous avez décidé pour certaines de consulter, pour d’autres de rester ou de revenir auprès de votre conjoint, bref de choisir votre bonheur non pas en fuyant mais au contraire en assumant vos responsabilités.

     

    J’ai publié et je vais continuer à publier sur ma page Facebook l’ensemble de mes articles mais il n’y a que sur ce blog que vous trouverez les commentaires associés à chacun.

     

    Vive les nouvelles technologies !





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  •  Effectivement, il est très difficile de changer quelqu’un, voire impossible, surtout à cet âge. J’aurais aimé que mon mari me donne un peu plus d’attention, qu’il rentre plus tôt du travail, qu’il participe davantage à la vie de famille. Quand je suis partie, j’étais certaine de ne plus pouvoir l’aimer, il était trop… « pas comme je le désirais. » Mais bizarrement, après que j’aie entamé mon travail avec ma thérapeute, je me suis rendue compte que je me trompais en partie sur son compte et beaucoup sur le mien. Et ça s’est confirmé il y a quelques semaines lorsque nous avons eu cette longue discussion.

     Je n’avais pas besoin de le changer. Il me donnait énormément d’attention, à sa manière. Il m’aimait, je m’en suis rendue compte en le quittant. Peut-être que j’aurais aimé qu’il exprime son amour différemment. Ce que je prenais pour une certaine indifférence était en fait une manière de me « laisser respirer. » Pourtant si j’y réfléchis bien, il me complimentait même sur les partie de mon corps que j’appréciais moins, il s’assurait que je ne manque de rien, il m’encourageait, il me supportait dans les moments difficiles. Quand je croyais être invisible pour lui, il voyait tout, simplement il ne le disait pas. Mais c’était réciproque. Je n’avais donc pas à le rendre plus intentionné, il l’était. Simplement en discutant, j’aurais facilement pu obtenir le type d’attention voulue.

     S’il travaillait tant c’est tout simplement qu’il fallait bien boucler les fins de mois. Ce n’est pas pour rien que malgré la pension qu’il m’a versée après le divorce, je n’arrivais pas et que lui aussi a eu quelques années difficile. Faire tourner une maison de trois enfants avec un seul salaire, pensez-vous que ce soit facile ? Mais il ne se plaignait pas, afin qu’en famille on puisse faire des activités, il essayait de ramener plus d’argent en faisant des heures supplémentaires. Aujourd’hui je me rends compte qu’il n’était pas obsédé par son travail ou désireux de s’éclipser de la maison mais qu’en n’ayant pas de travail stable (je sais ce n’était pas de ma faute) je ne lui donnais d’autres choix. Le pire c’est qu’ayant trouvé ma voix, deux ans après la séparation, nous aurions eu à deux suffisamment d’argent pour qu’il puisse enfin, comme il le désirait, passer plus de temps avec moi et les enfants.

     Tout ça pour dire, que je n’avais pas besoin de le changer. Si j’étais insatisfaite, et croyez-moi en pleine crise je l’étais, je pouvais agir sur notre environnement afin de changer les choses et non pas mon mari. Après tout, je l’avais aimé, pendant plusieurs années, c’est bien parce que plusieurs choses en lui me plaisaient. D’ailleurs si je l’aime toujours c’est parce que je justement en dehors de tout ce que je voulais changer en lui, il avait plein de belles qualités.

     Avant de vouloir changer quelqu’un, et de lui reprocher de ne pas changer, posez-vous la question à savoir pourquoi est-il comme ça ? Y a-t-il un moyen de changer la situation pour que les choses soient plus conformes à mes souhaits qu’il change ou non ?

     Comme je ne pouvais pas le changer, j’ai changé de vie. Le reste, vous connaissez mon histoire. Aujourd’hui j’attends juste que la vie nous réunisse à nouveau et non je ne voudrais plus le changer car il est ce qu’il est mais, au moins, il n’a jamais souhaité que de me rendre heureuse.


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